mercredi, février 04, 2015

TV : La semaine kurde

Mardi 10 février sur ARTE :



à 20 h 55 :



Daech, naissance d'un État terroriste, documentaire de Jérôme Fritel (Fr., 2015) :

"L’État Islamique en Irak et au Levant, Daech en arabe, contrôle aujourd’hui un territoire grand comme la moitié de la France, à cheval sur deux pays, la Syrie et l’Irak. Sa fortune est comparable à celle d’un pays africain. L’organisation est devenue une sorte d’État hors la loi qui attire militants et combattants du monde entier. Inconnue il y a un an, cette start-up du terrorisme, née en Irak sous l’occupation américaine, est devenue une multinationale de la terreur. Comment est apparue Daech et quel est son modèle économique ? Peut-elle encore étendre son territoire ? Comment lutter contre une structure qui ne dépend plus de financements extérieurs ? Les journalistes Jérôme Fritel (Goldman Sachs – La banque qui dirige le monde) et Stéphan Villeneuve sont partis un mois en Irak, en novembre 2014, pour enquêter sur cette organisation terroriste qui bouleverse tous les enjeux géopolitiques de la région. Cette investigation, tournée comme un "road movie", nous emmène aux différentes frontières, côtés irakien, kurde et turc…"

à 23 h :



Öcalan et la question kurde, documentaire de Luis Miranda (Fr., 2014) :

"Le Kurdistan, partagé entre l’Iran, l’Irak, la Turquie et la Syrie, pourrait jouer un rôle majeur dans un Moyen-Orient déchiré. Mais qui sont les Kurdes ? Quelle influence ont-ils ? Qui est exactement Adullah Öcalan, le dirigeant du Parti des travailleurs du Kurdistan ? Une enquête éclairante de Luis Miranda."

 Vendredi 13 février à 21 h 40 sur Toute l'Histoire :




Turquie, l'héritage kémaliste, documentaire d'Anne-Fleur Delaistre (Fr., 2014).

"Que reste-il de la révolution kémaliste, 90 ans après la naissance de la République de Turquie ? Lorsque qu'il instaure la République en 1923, Mustafa Kemal entreprend une véritable révolution nationale faisant du pays un Etat laïc, moderne et occidentalisé. Au prix de méthodes radicales et autoritaires, ce stratège militaire et fin tacticien politique finit par imposer sa vision : laïcité, droit des femmes, nationalisme. Comment, en 2014, le pays fonctionne-il grâce à son héritage? Comment le kémalisme a-t-il résisté à l'épreuve du temps et aux différents gouvernements qui se sont succédé au pouvoir depuis la mort d'Atatürk en 1938 ?"

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Concert de soutien à l'Institut kurde